¡SOY BOHEMIA ! ¿Y QUÉ?

Siempre me preguntan ¿que es ser Bohemio? les respondo : El Bohemio vive por vivir , se llena de angustia sin tener por qué, pero está alegre cuando otros no están.

El Bohemio vive su vida incansable de ideas ,algunas creativas y otras filosóficas, todas para hacer de su vida un paraíso. El Bohemio no teme, solo porque él vive su vida como quiere, ahora sin causarles daños a sus semejantes. Vive la vida con principios y hasta con responsibilidad pero hace lo que quiere cuando quiere. En la música encuentra pinturas, en las poesías encuentra música, y en las pinturas encuentra versos ...es así mientras que se bebe su copa y sin faltar un café en un bar escondido adonde solo se lee por la media luz y la atmósfera del tabaco. La noche es su tarima....ahi baila, canta, bebe, conversa y admira a otros como él. Se proclama el duende de la noche. Ve el mundo con otros ojos ...él ve colores en el cielo nublado, ve la melancolía en una rosa brillante en su esplendor.

Gracias a todos que entienden estas breves letras. ¡SÍIIIIIII!!!! ¡Soy una Bohemia !!! ¿y Qué?

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Nouvelles du Chasseur abstrait éditeur

Tristan Leroux (poésie)

Pierre Vanoni (photographies)

Voyages parallèles


Voyages parallèles s’ouvrent sur une réflexion de Vauvenargues : « L’esprit est l’oeil de l’âme, non sa force. Sa force est dans le coeur, c’est à dire dans les passions. »
Le ton est donné.
Pierre Vannoni voyage et prend des photos, de l’intérieur jusqu’aux étoiles… Son regard donne vie à l’invisible, là où on renaît, disparaît et réapparaît parfois… être ange, à jamais.
Tristan Leroux a le don des mots. Il les sculpte. Il donne à entendre. Il cherche… Il a rencontré les photgraphies de Pierre Vannoni et il a voyagé avec lui, en parallèle.

Ce mystère


Quel est ton nom, ô mon chemin de Terre ?
Telle énigme lorsque j’étais enfant,
Volait, lointaine, et naturellement
Je n’avais pas souci de son mystère.

Or aujourd’hui qu’elle est mon atmosphère,
— Maman des ailes des moulins à vent —
Qu’elle est mon chant rude et réverbérant
Ainsi qu’en cathédrale une prière,

A l’horizon ne point aucun répons ;

Rien que beautés, brûlis, et nous ployons.
A quoi sert-il que d’ardeur je redouble :

Le savoir croît, la certitude fuit.
J’ai reconnu un seul dieu dans ma nuit,
C’est le soleil sur le front de mon trouble.

RAL,M - Revue d'Art et de littérature, musique

le chantier du Chasseur abstrait
http://www.lechasseurabstrait.com/

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